Pour se mettre en action, sortir de son lit et se fixer des objectifs professionnels, nous nous appuyons sur notre cerveau.
En effet, la partie préfrontale du cerveau joue un rôle important dans la motivation. Le lobe frontal, en particulier le cortex préfrontal, est la partie du cerveau qui joue un rôle prépondérant dans la motivation et la prise de décision. Notre motivation est liée à nos émotions et nos fonctions cognitives.
Dès lors, il n’est pas rare que face à un trop plein d’émotions et de pensées, on ressente une sorte de démotivation. Pourtant, il est possible de hacker son cerveau et retrouver de la motivation, même lorsqu’on traverse une passe difficile et qu’on se sent sans énergie.
Voici une méthode qui peut t‘y aider : la méthode des 3 B. L’objectif: reprendre le dessus et se recentrer, même quand on n’a pas la tête à cela.
Les 3 B, c’est quoi ?
C’est une approche basée sur les neurosciences et l’entraînement cérébral, développée par Elisabeth Grimaud, Docteur en psychologie cognitive, dans son livre « Beau-Bien-Bon: La formule magique pour sourire à la vie ! »
Tu l’auras donc compris: 3 B pour Beau, Bien et Bon.
Pour intégrer cette méthode dans notre quotidien, il y a 3 questions essentielles à se poser, pour aider à retrouvrer son alignement.
1.Le Beau : « Qu’est-ce qui éveille et réjouit mes sens ? »
Notre cerveau a besoin de beau.
Oui, on peut hacker son cerveau grâce au beau, car le beau est source de bien-être. Le beau, c’est ce qui nous émerveille. L’art, la nature, l’Autre, la cuisine… Nos cinq sens nous conduisent à appréhender le monde qui nous entoure d’un point de vue esthétique. Résultat : plus d’énergie, de bonnes vibrations et une meilleure appréciation de la beauté.
2.Le Bien : « Qu’est-ce qui nécessite mon attention ? »
Notre cerveau a besoin de bien, d’être dans l’action pour développer la satisfaction et l’estime de soi. Il s’agit de ne se concentrer que sur l’essentiel, et éliminer ce qui pompe notre énergie. S’appliquer, s’impliquer, prioriser nos tâches quotidiennes, se féliciter et savoir dire non : le travail bien fait nécessite de choisir (et donc renoncer), bien dormir, bien manger et préparer son corps et son esprit à être performant.
3.Le Bon : « Qui a besoin de mon humanité ? »
Nous avons besoin de lien social. C’est ce à quoi va servir le Bon: se mettre en relation avec l’autre. En effet, sans empathie, on ne peut être véritablement heureux, selon Elisabeth Grimaud. Concrètement, ça consiste en quoi ? C’est s’ouvrir aux autres en faisant preuve de bienveillance, gratitude, ou encore pardon. Comme le dit l’adage « seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin. »
En conclusion, lorsqu’on se sent dans une phase de baisse d’énergie et de moral, se concentrer sur le Beau-Bien-Bon nous permet d’activer nos hormones du bonheur et de recréer des connexions positives. C’est prouvé par les neurosciences.
C’est ce que je te propose de faire grâce à mon journal bien-être au quotidien, que tu peux télécharger gratuitement ci-dessous.